Analyse de métaux et de sons

La démodulation montrait un objet rotatif, avec une vitesse de rotation d'environ 249,6 T/min. (Tour par minute), pour une modulation de fréquence de 4,16 Hz. La vitesse de défilement de la bande a été réduite au quart de la vitesse initiale, à la suite de quoi un battement plus faiblement audible avec une fréquence 4 fois supérieure ou 998,4 T/min a été découvert. Ce faible battement pourrait découler d'un objet rotatif, qui tourne à travers 4 champs électriques ou magnétiques individuels. Le même résultat pourrait provenir de 4 ailettes ou d'hélices d'un objet rotatif, lorsqu'elles tournent dans l'air, tout comme les vibrations audibles d'un ventilateur électrique. Une brève analyse de spectre de 0 à 5 kHz - si l'on utilisait une interprétation "temps contre fréquence" - montrait une vitesse variable de rotation d'un objet , allant de 29 500 T/min jusqu'à la valeur élevée de 59 400 /min, mais uniquement lorsque la vibration inférieure était audible. Les deux sons semblaient avoir une relation directe entre eux, bien que le son plus lent ne changeait pas du tout sa fréquence, tout au long du processus d'enregistrement. L'objet présentant la grande vitesse commença par une fréquence de base de 520 Hz et accéléra progressivement jusqu'à 990 Hz, pour ensuite redescendre avec les mêmes niveaux de fréquence jusqu'à la fréquence de base de 520 Hz. Les niveaux de fréquence étaient quelque peu abrupts, du fait que l'étendue de bande des sons semblait parfois se mélanger. Le groupe de sons autour de 520 Hz s'évanouit aux alentours de 520 Hz, s'accrut à nouveau aux environs de 600 Hz, disparut à nouveau jusqu'à 725 Hz, pour gonfler à nouveau très fortement aux environs de 990 Hz. On peut reconnaître exactement la même chose, sur le chemin du retour, en utilisant les mêmes niveaux de Hertz qu'auparavant. Cela resta stable, un certain temps, puis le décalage recommença. A un autre moment de la coupure du son, le vaisseau spatial était visiblement immobile, car il émettait une lente vibration martelante, puis l'objet tourna rapidement à plein régime et l'émission sonore correspondante s'accrut rapidement jusqu'à atteindre un crescendo extrêmement élevé, aigu, dans la sphère supérieure à 50 000 T/min. En même temps, l'objet tournant lentement à 249,6 T/min était, à présent, à nouveau audible. Le vrombissement aigu provenait de l'objet à grande vitesse, qui commença à 29 500 T/min et accéléra jusqu'à 50 000T/min. L'objet tournant lentement ne changea pas sa vitesse; par contre, la vitesse de celui tournant rapidement changea, et le battement de celui tournant lentement sembla se moduler sur celui tournant rapidement. Sur la base de l'information présente pouvant être recueillie à partir de ces tests, il est impossible d'expliquer les processus physiques impliqués, mais on doit certainement se demander quel peut bien être le contrôle de friction utilisé à 59 400 T/min. Il se peut que l'objet tournant soit suspendu dans un champ magnétique et ne présente absolument pas de friction. Il n'est certainement pas possible de produire une émission sonore de la nature décrite au moyen d'une machinerie conventionnelle, connue de la technologie terrestre.

Avril 2004
par Wendelle C. Stevens, Lee Elders et Tom Welsh. USA.