Analyse de métaux et de sons

Il n'y avait pas de transformation de signal output (de sortie), pour transformer les clics digitaux en une sorte de signaux de son. Dilettoso l'aida à fabriquer un convertisseur digital-analogique, qui fut utilisé pour introduire des données dans un oscillateur analogique, qui à son tour, produisit le son. M. Chowning de la Stanford University, qui, depuis 10 ans, avait travaillé à quelque chose d'identique, a dit: "Nous pouvons y arriver, mais nous ne pouvons pas le faire en temps réel." Il estimait qu'il était impossible de programmer une sonate de Beethoven en 10 heures. Mais la nouvelle connexion produisit des résultats en temps réel. On pouvait s'asseoir et se servir d'une manière ludique des boutons, comme sur un clavier. Les discussions conduisirent alors à des synthétiseurs et comment on pouvait s'en servir pour donner naissance à des ondes très fines "transduquées" (converties) dans le domaine des nanohertz (milliardième d'une unité de fréquence hertz), pouvant produire des éléments très spécifiques. Qu'en était-il si un signal pour une onde thêta présentait une conversion de mandala émotionnelle de 6.02975841 hertz? Comment pouvait-on en arriver à une telle précision? En fait, tout ce que nous faisons, c'est appuyer sur le bouton nécessaire et insérer l'output (la sortie) dans les nouvelles sphères soniques nouvellement découvertes, qui reproduisent parfaitement les sons, y compris les ondes subsoniques et les "transduquent" (les convertissent) vers l'extérieur. Lorsque Dilettoso entra, pour la première fois, en contact avec l'émission sonique du vaisseau spatial, enregistrée par Eduard Meier, il amena l'enregistrement au laboratoire (travaillant sur ce genre de problématique) et demanda de quelle émission sonique il s'agissait. Ils pratiquèrent certains tests avec les émissions soniques, et ce, de 20 hertz, fréquence la plus basse, jusqu'à 20 000 hertz, la fréquence la plus élevée captée par une oreille humaine. Ils ont trouvé là une formule harmonique. Toutes les fréquences dans cet enregistrement sont présentes en même temps. Après avoir étendu la formule, ils purent deviner les fréquences se trouvant en dehors de la sphère audible par l'homme, au-dessus et en-dessous, en traçant tout simplement une courbe. Ils se sont rendus compte que 32 fréquences sont présentes en même temps, 24 dans le domaine audible et 8 en dehors. Ce qui semble être un son de transit n'est pas une largeur de bande de transit (band width sweep) - qui n'est pas non plus un accord de 2 à 3 notes. Toutes les fréquences sont présentes en même temps, mais l'amplitude, le volume des différentes harmoniques augmentent en une programmation linéaire, selon une fréquence croissante, et celles du domaine inférieur - qui n'ont pas été prises en compte - sont encore présentes, bien que leur amplitude, ainsi que leur volume diminuent. On aurait pu analyser cela si un compteur à fréquence digital avait été disponible. Afin de trouver un moyen de reproduire une émission sonore analogue, l'intéressé devrait disposer d'une installation de laboratoire très compliquée pour la musique électronique, notamment du fait que certaines des fréquences sont de nature impaire. On ne pourrait pas seulement y arriver en rassemblant un certain nombre de " synthétiseurs". C'est pourquoi, il serait très difficile de produire artificiellement ces émissions soniques. Tout d'abord, les synthétiseurs hautement élaborés du commerce ne présentent que 4 oscillateurs, ce qui signifie qu'on aurait besoin d'au moins 8 synthétiseurs. Les synthétiseurs ne vont pas jusqu'aux fréquences sub-audibles. On ne peut détecter ces domaines que si l'on utilise des sphères soniques comme transducteurs de sons et si la bande présente des supra-sons, en tant que supra-ondes, entre les 24 fréquences audibles.