Analyse de métaux et de sons

Analyse complémentaire de métaux par Wendelle C. Stevens/Lee Elders/Tom Welsh.USA.

Un petit échantillon de l'un des quatre états métalliques, examiné par l'EMPA à Zurich et aussi par le Dr Walter W. Walker, a été transmis au Dr Marcel Vogel pour une micro-analyse. Le Dr Vogel est un chercheur en chimie aux laboratoires de recherche d'IBM à San José, Californie, et c'est un pionnier de la technologie de la luminescence. Il a mis au point les cristaux liquides, les films magnétiques, les disques Floppy, etc. C'est un pionnier de la communication, entre l'homme et la plante, de la recherche sur la transmission de l'énergie et a également écrit des livres et des articles sur ce sujet. Il commença son travail avec l'unique fragment métallique minuscule de la deuxième forme d'état, le fragment d'argent mat, qui avait été obtenu des Plejaren. Il décrivit beaucoup de choses qui, jusqu'à présent, n'avaient pas été décrites (dans le large spectre de l'analyse métallurgique).

Il découvrit tout d'abord qu'une des faces du microéchantillon examiné, qui avait été analysé avec un grossissement de 500 fois, montrait, à l'évidence, qu'il avait été élaboré de façon mécanique dans sa micro construction, et ce, très probablement à l'aide d'un laser. Lors de l'analyse du fragment aux rayons X, au moyen d'une analyse des éléments, il trouva un seul dépôt d'élément de thulium (Tm, nombre atomique 69, poids atomique 168,934), un rare élément de transition dans la série des lanthanides, ainsi que du rhénium (Re, nombre atomique 75, poids atomique 186,2), un autre métal rare. Dans la technologie terrienne moderne, on ne trouve normalement le thulium que dans un état transitoire. Il a également trouvé des traces de brome et de gaz d'argon, alliées dans le métal. Une face de thulium indiquait un micro-usinage. Lors d'une spectro-analyse, le thulium présenta la particularité remarquable que, pour cet élément, il n'y avait qu'un domaine du bandeau principal, et pas de bandeau secondaire. Tous les éléments analysés au moyen de la spectro-analyse présentent dans leurs spectres des bandeaux manquants qui devraient être présents si les éléments possédaient un spectre atomique normal. Cela montre que les éléments sont assemblés d'une manière tout à fait inhabituelle, en comparaison de la technologie terrienne normale. Les spectrogrammes sont tout à fait différents de ce que l'on qualifierait d'isotope. Les spectrogrammes ont montré une très grande pureté des éléments et pas de bandeaux secondaires, et pas de catalyseurs. La plupart des éléments analysés présentaient les mêmes caractéristiques non terrestres. En raison de l'absence de cendres et de reliquats caloriques, c'était essentiellement l'indice d'un processus de synthèse non électrique de fusion à froid. On ne connaît pas un tel processus, à l'heure actuelle, dans la technologie terrienne. Un degré de pureté analogue a été constaté pour un aluminium élémentaire, ainsi que pour l'argent. Une autre caractéristique unique de ces éléments fut la presque parfaite diminution uniforme d'éléments plus légers, précédant les éléments analysés par le spectromètre. Là, le bandeau principal présentait un degré de pureté très élevé et puis - sans bandeau secondaire et catalyseur - une courbe absolument uniforme composée d'éléments plus légers, gaz y compris, précédant les (éléments) concernés. C'est comme si le métal souhaité était le résultat d'une élaboration uniforme de la densité atomique, particule par particule.

Une analyse d'une partie non métallique de l'échantillon, au moyen d'une lumière polarisée, avec un processus de mesure appelé biréfringence, a montré des structures cristallines, organisées de manière spiraloïde. La forme hexaédrique des cristaux a nettement été rendue visible, à l'aide d'un microscope électronique, avec un grossissement de 2000 fois. Une photo micrographique a montré une clarté inhabituelle, ce qui est l'indice d'une conductivité inhabituelle des électrons qui éclairent l'image. Si l'on avait normalement à faire à des cristaux habituels, non conductibles, comme le quartz, p.ex., les électrons s'accumuleraient à la pointe des cristaux et formeraient ainsi une charge dans l'espace, obscurcissant les prises de vue. La conductivité était si efficace que les structures cristallines inférieures, au sein du cristal, ont pu être rendues visibles - un phénomène inédit jusqu'à ce jour. La liaison électrique entre les éléments cristallins principaux était si efficace qu'il en résulta une claire vision à travers l'ouvrage cristallin grillagé. Elle révéla une structure spiraloïde, avec des intervalles réguliers dans la composition des sous-particules. On ne décela aucune vésicule gazeuse (occlusion?). Si cela avait été produit par un processus de fusion à chaud, l'image aurait eu une toute autre apparence et on aurait pu s'attendre à un plus grand mélange d'éléments. Nous avons des métaux exceptionnellement purs dans une partie de l'échantillon et des cristaux non métalliques extrêmement conducteurs, dans une autre partie. La composition des cristaux consiste en une substance non identifiable, inconnue auparavant. Une autre micro-partie de l'échantillon se composait de pur argent - à nouveau, sans bandeaux secondaires et sans substance de contact. L'argent était également inhabituellement conducteur; il avait une structure douce (lisse, sans aspérités) et il était relié à une surface d'aluminium, qui était également inhabituellement conductrice. On a également trouvé du potassium, du chlore et du brome, avec un haut degré de pureté. Une densitométrie montra d'autres réelles anomalies et des courbes de densité variables, indiquant le gradient de densité. L'échantillon de métal se trouvant dans une petite enveloppe de plastique a été porté personnellement par le Dr Vogel, lorsqu'il le transporta au "Ames Research Laboratory", accompagné du Dr Richard F. Haines. Le but était de pratiquer des recherches encore plus exotiques (plus exceptionnelles). Tout à coup, l'échantillon de métal disparut, sans laisser de traces ou sans qu'il n'y ait eu de dégâts au niveau de l'enveloppe. Une chute ou une installation erronée de l'échantillon lors de son introduction dans l'enveloppe n'entraient pas en ligne de compte. La forme initiale de l'échantillon de métal était encore gravée dans le plastique de l'enveloppe. Cela aurait été encore plus inquiétant si on n'avait pas connu déjà une disparition analogue en Suisse, où l'échantillon de métal présentait le prochain état antérieur de l'échantillon précité. Les propriétés suivantes, uniques, qui se sont manifestées au cours des analyses de l'échantillon de métal, les rendent exotiques et évoquent très clairement une origine non terrestre:

  1. Degré de pureté exceptionnel du métal, analysé par spectrographie.
  2. Absence de substance de contact ou de lignes de spectrogramme secondaires.
  3. Nombre inhabituel d'oligo-éléments, que l'on peut trouver, depuis les éléments les plus lourds, jusqu'aux éléments gazeux les plus légers, tout au long de l'échelle, sans interruption ou discontinuité. A nouveau, toutes ces lignes indiquent le même degré de pureté pour chaque élément. Les savants impliqués n'ont jamais vu quelque chose de comparable auparavant.
  4. Une étrange formation, très uniforme, de grains, avec une couche de grains horizontaux, interposés entre des couches de grains verticaux, qui sont eux-mêmes interposés entre deux couches de grains horizontaux, etc. en une étroite construction grillagée.
  5. Une surface de métal montrait une coupure mécanique extrêmement fine, probablement réalisée au moyen d'un laser.
  6. Association de cristaux non métalliques, présentant une structure étrange et une conductivité extrêmement élevée pour les éléments.
  7. La structure continue de la formation grillagée dans la texture cristalline et la composition spiraloïde ou l'accumulation de cristaux dans la substance non métallique était unique.
  8. Une certaine forme de synthèse à froid non électrolytique est clairement identifiée.
  9. Il y a des preuves attestant que la synthèse a eu lieu dans le vide.

Ce fragment d'échantillon de métal ne provient certainement pas de quelque chose de connu et n'est surtout pas issu d'un processus de fusion (de nature terrestre) ou d'un déchet d'un container de ferraille. La véritable origine de ces petits fragments de métal pourrait très bien être celle qu'affirme le témoin (à savoir, un métal d'origine et de fabrication extraterrestre). Pour le moment, nous ne pouvons pas fournir une autre explication. Les investigations se poursuivent.

Analyse du son par Wendelle C.Stevens/Lee Elders/Tom Welsh, USA.

De même que pour l'analyse photo, nous avons décidé, lors de l'analyse des sons du vaisseau spatial enregistré en Suisse par Eduard Meier, d'opter pour des techniques innovatrices. Un programmateur Micor, qui travaillait tard dans la nuit (2h du matin) était assis devant l'ordinateur, en mettant au point des systèmes de logiciels en vue de l'envoi électronique de fonds, lorsqu'il se mit tout à coup à écrire, pour élaborer des relais de synthétiseurs digitaux, et en 20 minutes, il écrivit toutes les transformations Fourier et tout le reste, pour transformer le son en logique digitale. Quatre mois plus tard, il fabriqua un prototype chez lui, à la maison, lorsqu'il fit la connaissance de Jim Dilettoso, qui lui expliqua comment transformer les transformations digitales Fourier en signaux analogiques pour la musique. Autrefois, on avait pensé qu'il était impossible de travailler digitalement sur les sons, du fait que l'électronique digitale ne possède pas d'entrée (input) pour des signaux analogiques.

Il n'y avait pas de transformation de signal output (de sortie), pour transformer les clics digitaux en une sorte de signaux de son. Dilettoso l'aida à fabriquer un convertisseur digital-analogique, qui fut utilisé pour introduire des données dans un oscillateur analogique, qui à son tour, produisit le son. M. Chowning de la Stanford University, qui, depuis 10 ans, avait travaillé à quelque chose d'identique, a dit: "Nous pouvons y arriver, mais nous ne pouvons pas le faire en temps réel." Il estimait qu'il était impossible de programmer une sonate de Beethoven en 10 heures. Mais la nouvelle connexion produisit des résultats en temps réel. On pouvait s'asseoir et se servir d'une manière ludique des boutons, comme sur un clavier. Les discussions conduisirent alors à des synthétiseurs et comment on pouvait s'en servir pour donner naissance à des ondes très fines "transduquées" (converties) dans le domaine des nanohertz (milliardième d'une unité de fréquence hertz), pouvant produire des éléments très spécifiques. Qu'en était-il si un signal pour une onde thêta présentait une conversion de mandala émotionnelle de 6.02975841 hertz? Comment pouvait-on en arriver à une telle précision? En fait, tout ce que nous faisons, c'est appuyer sur le bouton nécessaire et insérer l'output (la sortie) dans les nouvelles sphères soniques nouvellement découvertes, qui reproduisent parfaitement les sons, y compris les ondes subsoniques et les "transduquent" (les convertissent) vers l'extérieur. Lorsque Dilettoso entra, pour la première fois, en contact avec l'émission sonique du vaisseau spatial, enregistrée par Eduard Meier, il amena l'enregistrement au laboratoire (travaillant sur ce genre de problématique) et demanda de quelle émission sonique il s'agissait. Ils pratiquèrent certains tests avec les émissions soniques, et ce, de 20 hertz, fréquence la plus basse, jusqu'à 20 000 hertz, la fréquence la plus élevée captée par une oreille humaine. Ils ont trouvé là une formule harmonique. Toutes les fréquences dans cet enregistrement sont présentes en même temps. Après avoir étendu la formule, ils purent deviner les fréquences se trouvant en dehors de la sphère audible par l'homme, au-dessus et en-dessous, en traçant tout simplement une courbe. Ils se sont rendus compte que 32 fréquences sont présentes en même temps, 24 dans le domaine audible et 8 en dehors. Ce qui semble être un son de transit n'est pas une largeur de bande de transit (band width sweep) - qui n'est pas non plus un accord de 2 à 3 notes. Toutes les fréquences sont présentes en même temps, mais l'amplitude, le volume des différentes harmoniques augmentent en une programmation linéaire, selon une fréquence croissante, et celles du domaine inférieur - qui n'ont pas été prises en compte - sont encore présentes, bien que leur amplitude, ainsi que leur volume diminuent. On aurait pu analyser cela si un compteur à fréquence digital avait été disponible. Afin de trouver un moyen de reproduire une émission sonore analogue, l'intéressé devrait disposer d'une installation de laboratoire très compliquée pour la musique électronique, notamment du fait que certaines des fréquences sont de nature impaire. On ne pourrait pas seulement y arriver en rassemblant un certain nombre de " synthétiseurs". C'est pourquoi, il serait très difficile de produire artificiellement ces émissions soniques. Tout d'abord, les synthétiseurs hautement élaborés du commerce ne présentent que 4 oscillateurs, ce qui signifie qu'on aurait besoin d'au moins 8 synthétiseurs. Les synthétiseurs ne vont pas jusqu'aux fréquences sub-audibles. On ne peut détecter ces domaines que si l'on utilise des sphères soniques comme transducteurs de sons et si la bande présente des supra-sons, en tant que supra-ondes, entre les 24 fréquences audibles.

Supposons qu'un signal de 10 hertz présente des supra-sons de 20, 40 et 80 hertz. Si nous n'avons pas de signal de 80 cycles dans le domaine audible, mais si nous en détectons une trace, cela nous indique qu'il s'agit d'une harmonique naturelle d'une fréquence de base plus basse. C'est pourquoi, nous pouvons dire que nous supposons qu'il y a là des sous-harmonies, donc, que des fréquences infra-audibles sont générées. Ce, parce que nous en captons les supra-sons, et c'est ce fait qui étaye nos convictions. Cela signifie qu'il y a 32 sources sonores, qui engendrent de pures ondes sinusoïdales pouvant être captées au moyen de technologies existantes - c.à.d., des sons purs. Les ondes sonores se propagent comme de petites vagues dans l'eau. Nous n'avons pas mesuré exactement le double décalage, car si une fréquence se déplace en dehors du domaine où nous aurions dû entendre l'effet Doppler, ce qui constitue un décalage de la longueur d'onde, il a été rendu insaisissable par la variation des amplitudes et par les diverses harmoniques, qui ne l'ont pas atteint en même temps. Si l'amplitude (étendue de vibration) des diverses harmoniques varie, et ce, selon un complément approprié envers les distances parcourues, on ne pourrait voir aucun effet Doppler visible. La forme ascendante et descendante de l'amplitude rendait peu manifeste le changement de fréquence. C'est pourquoi, on peut dire que 32 longueurs d'ondes stationnaires avec des sons très purs, de faible étendue et d'intervalles égales, sont engendrés en même temps. Dans une formule temporelle, l'amplitude de plusieurs fréquences s'accroît, tandis que l'amplitude d'autres décroît. Il y a une sorte de relation ordonnée entre les fréquences et le temps ou les degrés de changement. L'amplitude s'accroît de 50 décibels environ, et décroît de 40 décibels environ, ce que cette vibration produit dans le domaine audible. Là où les émissions sonores de l'avion et du vaisseau spatial sont audibles en même temps, il a été possible de déterminer qu'elles avaient, en réalité, été enregistrées en même temps. On n'a pu trouver aucune preuve selon laquelle un son aurait été synchronisé sur un autre, postérieurement. Toutes les fréquences étaient très pures, très stables et régulièrement réparties sur l'échelle des fréquences.

Analyse complémentaire des sons par Wendelle C. Stevens/Lee Elders/Tom Welsh -USA

L'émission sonore du vaisseau spatial des Plejaren que M. Eduard Meier a enregistrée en Suisse a été remise à M. Robin L. Shellman. C'est un technicien du son très expérimenté, qui travaille sur des programmes sonores hautement sophistiqués, ne pouvant faire l'objet d'une discussion ici. Il pratiqua une analyse sonore mécanique, pour élucider la nature de l'enregistrement sonore, et ce, en se basant tant sur les analyses scientifiques de la longueur d'onde et de l'amplitude, et de toutes les propriétés de l'onde, que sur les rayonnements et la performance derrière l'émission sonore. Shellman pratiqua son analyse audio le 20 avril 1980. Il utilisa, à cet effet, un analyseur spectral élaboré par Spectro Dynamics, à San Diego, Californie. Ce processeur est pourvu d'un dispositif de démodulation avec une étendue de bande pour des analyses de fréquence de 10 hertz à 20 kilohertz, ainsi que d'une possibilité de sélectionner la fréquence principale.

La démodulation montrait un objet rotatif, avec une vitesse de rotation d'environ 249,6 T/min. (Tour par minute), pour une modulation de fréquence de 4,16 Hz. La vitesse de défilement de la bande a été réduite au quart de la vitesse initiale, à la suite de quoi un battement plus faiblement audible avec une fréquence 4 fois supérieure ou 998,4 T/min a été découvert. Ce faible battement pourrait découler d'un objet rotatif, qui tourne à travers 4 champs électriques ou magnétiques individuels. Le même résultat pourrait provenir de 4 ailettes ou d'hélices d'un objet rotatif, lorsqu'elles tournent dans l'air, tout comme les vibrations audibles d'un ventilateur électrique. Une brève analyse de spectre de 0 à 5 kHz - si l'on utilisait une interprétation "temps contre fréquence" - montrait une vitesse variable de rotation d'un objet , allant de 29 500 T/min jusqu'à la valeur élevée de 59 400 /min, mais uniquement lorsque la vibration inférieure était audible. Les deux sons semblaient avoir une relation directe entre eux, bien que le son plus lent ne changeait pas du tout sa fréquence, tout au long du processus d'enregistrement. L'objet présentant la grande vitesse commença par une fréquence de base de 520 Hz et accéléra progressivement jusqu'à 990 Hz, pour ensuite redescendre avec les mêmes niveaux de fréquence jusqu'à la fréquence de base de 520 Hz. Les niveaux de fréquence étaient quelque peu abrupts, du fait que l'étendue de bande des sons semblait parfois se mélanger. Le groupe de sons autour de 520 Hz s'évanouit aux alentours de 520 Hz, s'accrut à nouveau aux environs de 600 Hz, disparut à nouveau jusqu'à 725 Hz, pour gonfler à nouveau très fortement aux environs de 990 Hz. On peut reconnaître exactement la même chose, sur le chemin du retour, en utilisant les mêmes niveaux de Hertz qu'auparavant. Cela resta stable, un certain temps, puis le décalage recommença. A un autre moment de la coupure du son, le vaisseau spatial était visiblement immobile, car il émettait une lente vibration martelante, puis l'objet tourna rapidement à plein régime et l'émission sonore correspondante s'accrut rapidement jusqu'à atteindre un crescendo extrêmement élevé, aigu, dans la sphère supérieure à 50 000 T/min. En même temps, l'objet tournant lentement à 249,6 T/min était, à présent, à nouveau audible. Le vrombissement aigu provenait de l'objet à grande vitesse, qui commença à 29 500 T/min et accéléra jusqu'à 50 000T/min. L'objet tournant lentement ne changea pas sa vitesse; par contre, la vitesse de celui tournant rapidement changea, et le battement de celui tournant lentement sembla se moduler sur celui tournant rapidement. Sur la base de l'information présente pouvant être recueillie à partir de ces tests, il est impossible d'expliquer les processus physiques impliqués, mais on doit certainement se demander quel peut bien être le contrôle de friction utilisé à 59 400 T/min. Il se peut que l'objet tournant soit suspendu dans un champ magnétique et ne présente absolument pas de friction. Il n'est certainement pas possible de produire une émission sonore de la nature décrite au moyen d'une machinerie conventionnelle, connue de la technologie terrestre.

Avril 2004
par Wendelle C. Stevens, Lee Elders et Tom Welsh. USA.