Analyse de métaux et de sons

Supposons qu'un signal de 10 hertz présente des supra-sons de 20, 40 et 80 hertz. Si nous n'avons pas de signal de 80 cycles dans le domaine audible, mais si nous en détectons une trace, cela nous indique qu'il s'agit d'une harmonique naturelle d'une fréquence de base plus basse. C'est pourquoi, nous pouvons dire que nous supposons qu'il y a là des sous-harmonies, donc, que des fréquences infra-audibles sont générées. Ce, parce que nous en captons les supra-sons, et c'est ce fait qui étaye nos convictions. Cela signifie qu'il y a 32 sources sonores, qui engendrent de pures ondes sinusoïdales pouvant être captées au moyen de technologies existantes - c.à.d., des sons purs. Les ondes sonores se propagent comme de petites vagues dans l'eau. Nous n'avons pas mesuré exactement le double décalage, car si une fréquence se déplace en dehors du domaine où nous aurions dû entendre l'effet Doppler, ce qui constitue un décalage de la longueur d'onde, il a été rendu insaisissable par la variation des amplitudes et par les diverses harmoniques, qui ne l'ont pas atteint en même temps. Si l'amplitude (étendue de vibration) des diverses harmoniques varie, et ce, selon un complément approprié envers les distances parcourues, on ne pourrait voir aucun effet Doppler visible. La forme ascendante et descendante de l'amplitude rendait peu manifeste le changement de fréquence. C'est pourquoi, on peut dire que 32 longueurs d'ondes stationnaires avec des sons très purs, de faible étendue et d'intervalles égales, sont engendrés en même temps. Dans une formule temporelle, l'amplitude de plusieurs fréquences s'accroît, tandis que l'amplitude d'autres décroît. Il y a une sorte de relation ordonnée entre les fréquences et le temps ou les degrés de changement. L'amplitude s'accroît de 50 décibels environ, et décroît de 40 décibels environ, ce que cette vibration produit dans le domaine audible. Là où les émissions sonores de l'avion et du vaisseau spatial sont audibles en même temps, il a été possible de déterminer qu'elles avaient, en réalité, été enregistrées en même temps. On n'a pu trouver aucune preuve selon laquelle un son aurait été synchronisé sur un autre, postérieurement. Toutes les fréquences étaient très pures, très stables et régulièrement réparties sur l'échelle des fréquences.

Analyse complémentaire des sons par Wendelle C. Stevens/Lee Elders/Tom Welsh -USA

L'émission sonore du vaisseau spatial des Plejaren que M. Eduard Meier a enregistrée en Suisse a été remise à M. Robin L. Shellman. C'est un technicien du son très expérimenté, qui travaille sur des programmes sonores hautement sophistiqués, ne pouvant faire l'objet d'une discussion ici. Il pratiqua une analyse sonore mécanique, pour élucider la nature de l'enregistrement sonore, et ce, en se basant tant sur les analyses scientifiques de la longueur d'onde et de l'amplitude, et de toutes les propriétés de l'onde, que sur les rayonnements et la performance derrière l'émission sonore. Shellman pratiqua son analyse audio le 20 avril 1980. Il utilisa, à cet effet, un analyseur spectral élaboré par Spectro Dynamics, à San Diego, Californie. Ce processeur est pourvu d'un dispositif de démodulation avec une étendue de bande pour des analyses de fréquence de 10 hertz à 20 kilohertz, ainsi que d'une possibilité de sélectionner la fréquence principale.