Analyse de métaux et de sons

  1. Degré de pureté exceptionnel du métal, analysé par spectrographie.
  2. Absence de substance de contact ou de lignes de spectrogramme secondaires.
  3. Nombre inhabituel d'oligo-éléments, que l'on peut trouver, depuis les éléments les plus lourds, jusqu'aux éléments gazeux les plus légers, tout au long de l'échelle, sans interruption ou discontinuité. A nouveau, toutes ces lignes indiquent le même degré de pureté pour chaque élément. Les savants impliqués n'ont jamais vu quelque chose de comparable auparavant.
  4. Une étrange formation, très uniforme, de grains, avec une couche de grains horizontaux, interposés entre des couches de grains verticaux, qui sont eux-mêmes interposés entre deux couches de grains horizontaux, etc. en une étroite construction grillagée.
  5. Une surface de métal montrait une coupure mécanique extrêmement fine, probablement réalisée au moyen d'un laser.
  6. Association de cristaux non métalliques, présentant une structure étrange et une conductivité extrêmement élevée pour les éléments.
  7. La structure continue de la formation grillagée dans la texture cristalline et la composition spiraloïde ou l'accumulation de cristaux dans la substance non métallique était unique.
  8. Une certaine forme de synthèse à froid non électrolytique est clairement identifiée.
  9. Il y a des preuves attestant que la synthèse a eu lieu dans le vide.

Ce fragment d'échantillon de métal ne provient certainement pas de quelque chose de connu et n'est surtout pas issu d'un processus de fusion (de nature terrestre) ou d'un déchet d'un container de ferraille. La véritable origine de ces petits fragments de métal pourrait très bien être celle qu'affirme le témoin (à savoir, un métal d'origine et de fabrication extraterrestre). Pour le moment, nous ne pouvons pas fournir une autre explication. Les investigations se poursuivent.

Analyse du son par Wendelle C.Stevens/Lee Elders/Tom Welsh, USA.

De même que pour l'analyse photo, nous avons décidé, lors de l'analyse des sons du vaisseau spatial enregistré en Suisse par Eduard Meier, d'opter pour des techniques innovatrices. Un programmateur Micor, qui travaillait tard dans la nuit (2h du matin) était assis devant l'ordinateur, en mettant au point des systèmes de logiciels en vue de l'envoi électronique de fonds, lorsqu'il se mit tout à coup à écrire, pour élaborer des relais de synthétiseurs digitaux, et en 20 minutes, il écrivit toutes les transformations Fourier et tout le reste, pour transformer le son en logique digitale. Quatre mois plus tard, il fabriqua un prototype chez lui, à la maison, lorsqu'il fit la connaissance de Jim Dilettoso, qui lui expliqua comment transformer les transformations digitales Fourier en signaux analogiques pour la musique. Autrefois, on avait pensé qu'il était impossible de travailler digitalement sur les sons, du fait que l'électronique digitale ne possède pas d'entrée (input) pour des signaux analogiques.