Agression, violence et terrorisme
C'est ainsi que l'on ressent déjà comme une entrave, avec une atteinte à l'estime de soi, si quelqu'un d'autre n'a pas la même opinion que nous, si une autre personne reçoit un meilleur salaire pour son travail ou possède plus de revenus, si nos propres biens et avoirs, etc. sont menacés, si les branches de l'arbre du voisin poussent dans notre propre jardin, si une perte d'emploi survient; si l'hygiène, l'ordre, la paix, l'harmonie ou la discipline sont nécessaires ou si le prochain a plus de connaissances, est plus aimant et plus sage, a plus d'amis et de connaissances, ou exerce une meilleure profession, etc. Mais c'est déjà suffisant, aussi, lorsqu'une femme possède des seins plus gros ou si un homme est mieux proportionné. L'agression et la violence naissent aussi lorsque des hommes d'autres races, d'autres origines sociales ou tout simplement étrangers ou avec d'autres croyances, font leur apparition. Mais si l'homme, en rapport avec sa nourriture et sa sexualité ou dans tout autre domaine, est entravé ou suppose tout simplement qu'il en est ainsi, alors les caractéristiques agressives et violentes se manifestent chez lui. Cela s'applique aussi lors d'une revendication de possession sur une personne, si une jalousie agressive et méchamment violente dégénérée s'exprime: s'il n'y a pas eu un stockage conscient de l'agressivité pour une action ultérieure, dévastatrice, exécutante, dégénérée et mortelle ou destructrice et anéantissante, l'homme, dans le cas normal, décide, en une fraction de seconde, s'il veut réagir d'une manière agressive et violente, ou non. Et comme, pour l'agression, il s'agit d'une émotion, qui, en règle générale, surgit à la vitesse de l'éclair, s'il s'agit d'une agression brutale, également appelée emportement, l'homme réagit également sous une forme instantanée, de sorte que le tout ne peut guère, voire pas du tout, être contrôlé. En effet, si l'agression se manifeste, alors il est normalement déjà trop tard pour vouloir encore l'amener sous contrôle, de sorte que tout le comportement agressif doit être analysé et démonté, dans son état de repos et ce, par des pensées et sentiments logiques, rationnels. Ce n'est que de cette manière qu'il est possible d'amener l'agression à un nivellement et à une élimination, de la neutraliser et de la dissoudre. Mais si les agressions ont déjà fait irruption, alors elles échappent, en règle générale, à tout contrôle, de sorte qu'il est extrêmement difficile de ne pas y succomber et de les combattre.