Faits concernant l'espace, par les Plejaren et "Billy" Eduard A. Meier

Indéniablement, les militaires s'empareraient des engins volants des extraterrestres, en vue d'une totale domination mondiale, si seulement c'était possible et si l'on pouvait se moquer ainsi des aliens.

Portons une fois nos regards sur le ciel nocturne. Ce n'est pas qu'il y ait tout simplement des étoiles qui scintillent là-bas. Déjà là on pourrait compter un plus un et au moins commencer à se faire des idées menant plus loin. Si seulement il n'y avait pas ce voile dû aux gaz à effet de serre, et la confusion suscitée par les médias et les insoutenables traditions... Il faut se rendre à l'évidence que les étoiles ne sont pas seulement des petits points, mais des soleils, souvent d'une grandeur beaucoup plus colossale que le nôtre dans notre système, bien que, dans le ciel nocturne, nous ne les voyons que comme petites étoiles scintillantes, dont on ne reconnaît la taille qu'au travers de grands télescopes. Et des planètes isolées gravitent autour de ces soleils, qui eut cru cela? Des planètes qui, depuis des années déjà, peuvent également être reconnues clairement et nettement, avec des télescopes toujours plus perfectionnés. Et si déjà les gigantesques soleils, dont notre seule galaxie en comporte dans les 200 milliards, ne sont visibles que sous forme de points stellaires, que doit-il donc en être de ces planètes, qui sont finalement beaucoup plus petites que ces lointains soleils?

Depuis longtemps déjà, la science parle du fait qu'une sorte d'atmosphère primitive dev- ait se trouver sur beaucoup de planètes dans le cosmos et doit s'y trouver. Une atmosphère primitive constitue une atmosphère présente durant les stades précoces de l'évolution d'une planète. Il y règne éclairs, chaleurs et volcanisme, et peut-être y trouve-t-on aussi déjà de l'eau et des sels, etc. Et c'est précisément à partir de telles atmosphères primitives que se sont formés et que se forment les substances nécessaires à la création d'acides aminés, d'où sont nées et naissent des formes de vie gélatineuses simples, puis, unicellulaires, et à partir de là, toujours plus complexes. Une affaire apparemment simple, qui plaide en faveur du fait que la vie n'est pas une rareté absolue, mais la forme tout à fait normale dans le cosmos et sur ses innombrables planètes.

Supposons une fois que notre galaxie présente effectivement (connaissance de base de l'astronomie classique ou de la physique classique) 200 milliards de soleils et ainsi, également, environ sept milliards (!) de planètes. Même si jusqu'à nos jours, il n'y avait qu'une planète sur un million qui a laissé naître la vie, alors, dans notre seule galaxie, il n' y en aurait pas moins de sept millions de planètes porteuses de vie, alors que pour les astronomes terrestres, aucune d'entre elles n'a encore été rendue visible avec des télescopes, mais uniquement de gigantesques planètes gazeuses, etc. incapables de porter la vie.