Aux: Nations Unies ...
... , à tous les pays qui n’ont pas encore abolis la peine de mort = selon la source: Wikipedia (2012)
États, dans lesquels la peine de mort a été supprimée dans le droit civil, cependant pas dans le droit d'exception:
Bolivie, Chili, El Salvador, Fidji, Israël, Kazakhstan, Pérou
États, dans lesquels la peine de mort n’a juridiquement ni été supprimée dans le droit civil ni dans le droit d'exception, mais qui n’est cependant pas exécutée en ce moment: (arrêt d’exécution)
Algérie, Bénin, Brunei, Burkina Faso, Érythrée, Ghana, Grenade, Caméroun, Kenya, République Congo, Laos, Libéria, Madagascar, Malawi, Maldives, Mali, Maroc, Mauritanie, Mongolie, Myanmar, Nauru, Niger, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Russie, Zambie, Sierra Léone, Sri Lanka, Corée du Sud, Surinam, Swaziland, Syrie, Tadjikistan, Tanzanie, Tonga, Tunisie, République centrafricaine
États, dans lesquels la peine de mort est exécutée non seulement dans le droit civil mais aussi dans le droit d’exception :
Afghanistan, Égypte, Antigua-et-Barbuda, Guinée Équatoriale, Éthiopie, Bahamas, Bahrein, Bangladésh, la Barbade, Belize, Botswana, Chine, République Chine (Taïwan), Dominique, Gambie, Guatémala, Guinée, Guyana, Inde, Indonésie, Iraq, Iran, Jamaïque, Japon, Yémen, Jordanie, Qatar, Comores, République démocratique du Congo, Cuba, Koweït, Lésotho, Liban, Libye, Malaisie, Nigéria, Corée du Nord, Oman, Pakistan, Domaines autonomes Palestine, Arabie Saoudite, Zimbabwé, Singapour, Somalie, Saint-Kitts-et-Nevis, St. Lucia, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Soudan, Soudan du Sud, Thaïlande, Trinité-et-Tobago, Tchad, Ouganda, Émirats arabes unis, États-Unis ( U. S. A. ), Viétnam, Biélorussie
À tous les gouvernements et responsables de la Terre, puissants des gouvernements, aux partisans de la peine de mort et de la torture, au pape, à la presse mondiale, à la radio, télévision et à chaque humain individuel de l'humanité terrestre totale.
Une proscription et une abolition mondiale de la torture et de la peine de mort doit être réalisée inéluctablement et aussi vite que possible dans tous les états de la Terre. Seulement à travers cela, la vie humaine peut être protégée par des lois appropriées et sa dignité peut être assurée.
Sur Terre règne encore dans divers États la torture et la peine de mort légale prédéterminée et par conséquent une loi pénale et une exécution pénitentiaire en dehors de tout honneur et de dignité humaine. Une proscription et abolition mondiale est expressément nécessaire.
Un véritable humain protège la vie, et son désir est, d’aimer, d’honorer et d’estimer ses semblables avec un vrai amour pour son prochain. Ceci est une partie naturelle-créationelle saine de la nature humaine, et la protection de la vie ainsi que le vrai amour pour son prochain sont aussi naturels que la respiration, que l’humain nécessite pour survivre.
La torture et la peine de mort sont cependant opposées à toutes ces valeurs et apportent de la peine et de la douleur inconcevable, ainsi une loi soutenant la torture et la peine de mort ne doit pas être donnée, tout comme une mentalité humaine aberrante, qui soutient le tout qui est monstrueux.
Vraiment, l’humain doit respirer l’amour, car tout le monde en a besoin et cet amour, il doit le construire et le mettre en valeur, pour protéger toute vie avec. La source de cet amour, dont tout le monde a besoin, est en lui et autour de lui, ainsi que dans les lois et recommandations créationelles-naturelles et il est véritablement nourri par ceux-ci.
Ainsi il lui est donné par cela d’être généreux dans son humanité et de protéger toute vie et d’aimer loin de toute haine, de toute vengeance et de son addiction à la vengeance et ainsi loin de la torture et la peine de mort.
Torture et peine de mort …
La torture et la peine de mort pour des formes de vie, pour des humains qui ont commis des délits ou des crimes – oui ou non?
Une question qui n’en est pas une pour une personne saine qui pense de façon responsable, car des pensées saines et responsables excluent d’avance de telles pensées de supplice et de vengeance.
Dans des soi-disant États de droit (qui n’en sont pas en réalité) la peine de mort est fondée sur une loi pénale inhumaine et méprisant la vie, pour différents infractions, pour laquelle une incarcération légale, un transfer et une condamnation des délinquants sont prévues.
Le tout de la condamnation et de l’exécution des délinquants doit être accompli par des représentants mandatés et légales, avec un valable, cependant il faut dire qu’un vrai état de droit, avec un ordre juridique efféctif conforme, protège toute vie impérativement et n’autorise ni la peine de mort, ni la torture.
La peine de mort et la torture supposent des structures inhumaines, misanthropes et méprisantes de la vie humaine, de désordre et de violence, qui doivent être correctement définies comme un acte fondé dans la loi et protégé de meurtre légitimé.
Par cela on entend un pouvoir législatif resp. une législation et un pouvoir exécutif resp. une force opérante, exécutante avec un monopole du pouvoir et en quelques sortes une constitution de nature misanthrope qui est dans la majorité des pays/états, légitimé de manière complètement indépendante de sa vrai réalisation démocratique par un rapport envers la volonté du peuple, par quoi cette volonté du peuple est généralement manipulé de manière politique à travers les partis ou de manière dictatoriale directe.
Beaucoup d’états permettent à leur pouvoir exécutif, sous des circonstances légales mauvaisement définies, la soi-disant légitime défense imminente, ainsi que dans des états d’urgences, le meurtre en forme de peine de mort, sans une action légale ou une condamnation à mort antérieure.
Ceci est donné p.ex. dans l’exercice de la loi martiale militaire, par laquelle seulement une procédure pénale simplifiée est appliquée, à travers lequel des humains sont exécuté en règle.
Il existe aussi la mise a mort et la guerre qui est légitimé par le droit international, ce qui n’est aussi rien de plus qu’un meurtre d’humains, comme aussi le meurtre privé non autorisé par la loi de délinquants présomptifs ou réels, comme p.ex. le lynchage, ce qui est considéré comme meurtre dans des états de loi.
Á côté d’exécutions illégales par des personnes non autorisés il existe aussi les meurtres commis par des représentants d’états avec un fondement juridique douteux ou manquant. Divers états donnent des ordres à mise à mort illégales aux services secrets etc. et ceci même dans des états, dans lesquels la peine de mort est interdite et qui ont même signés la charte des Nations Unies.
Comme cela des ennemies du régime présomptives ou réelles, des terroristes ou criminels sont assassinés sans procès, auquel des représentants du militaire, de la police ou des services secrets agissent très souvent indépendamment.
Ceci peut p.ex. arriver quand certains gouvernements n’imposent pas les lois existantes, par conséquent les états et ses meurtriers se réfèrent sur la soi-disante défense légitime, par laquelle les meurtriers obtiennent ultérieurement le soutien de l’état pour leurs meurtres et ils sont innocentés
De telles actions par contre sont toutes des actes meurtriers et des exécutions extrajudiciaires et en gros arbitraires bien qu’ils sont évalués, par les soi-disant règles , comme des exécutions d’un innocent. Les condamnations à mort et les exécutions reposent depuis les temps anciens sur une méprisant la vie, et en même temps misanthrope, ainsi la peine de mort n’avait jamais depuis les temps anciens et dans l’ensemble, ni éthiquement, ni humainement et de manière socio-politique, aucun droit d’existence.
Si quelque part un crime se produit, alors aussitôt des braillements et des bourrasques des personnes concernées et aussi des personnes pas concernées ont lieu. Des appels et voix qui réclament la peine de mort rétentissent, d’après lesquels toute personne devait être punie par la torture et la peine de mort et devait être expédiée de la vie dans l’au-delà, qui s’est rendue coupable d’un délit ou d’un crime.
Les coupables devraient être . Ainsi sont les réactions chez le soi-disant humain individuel et dans le peuple, quand l’indignation, la détresse et la peur et la colère s’emparent des prochains en référence à un délit ou un crime d’un humain.
Un crie de vengeance et de méchantes représailles, lancées par des personnes qui veulent être mieux que ceux, qui se sont rendues coupables d’un délit ou d’un crime. Mais est-ce que ces brailleurs de la peine de mort et ces partisans de la peine de mort sont-ils vraiment mieux que ceux qu’ils rendent coupables d’un crime ?
Non, au contraire; en effet ceux qui défendent, exigent, même exécutent la peine de la mort, ou qui sont impliqué d’une autre manière, ne sont pas mieux que ceux, à qui on souhaite la mort autour du cou.
En réalité ils sont même beaucoup pire et plus criminels que ceux, qui devraient être torturés ou devraient mourir à cause de leurs crimes.
Les humains qui exigent, défendent ou exécutent la torture ou la peine de mort, sont lâches et plein de peur et en plus avides de profit dans le fond de leur cœur.
Leur pensée est pathologiquement irresponsable et irraisonnable resp. vraiment déficitaire dans leur raison, pourquoi la colère et la peur, l’indignation et la détresse peut les envahir, aussitôt qu’un fait occupe leur pensée, qui dépasse leur pouvoir d’intelligence et de la raison, car leurs pensées et forces sont toujours trop primitives, pour se préoccuper de cela d’une manière responsable. Par conséquent, ils ne sont que poussés par la haine et leur addiction aux représailles, sans être capables de pensées et de sentiments raisonnables.
La torture et la peine de mort ne représentent jamais une expiation, mais sont seulement la façon la plus primitive et criminelle de vengeance et de satisfaction, d’humains primitifs sans raison et sans responsabilité, avec un quotient intellectuel et une humanité qui se situe bien en dessous de celui du délinquant qui doit être ou est torturé ou expédié de la vie vers la mort pour son acte infâme.
Que ce soit un partisan ou un exécutif de la torture et de la peine de mort, un bourreau, un juge ou un avocat, une femme de ménage, un simple ouvrier ou un mendiant, dans tous les cas, un soutien ou une revendication de la torture et de la peine de mort, témoigne du caractère primitif illimité, de la bêtise, du goût du lucre, du sectérianisme, de la méchanceté, de l'ivresse du sang et de l'irresponsabilité, de l'incapacité de penser raisonnablement et avec intelligence et de l’insuffisance la plus primitive émotionnelle.
Les partisans et exécutifs de la torture et de la peine de mort sont des humains psychopathiquement malades dont la primitivité est encore tellement profonde qu'ils sont incapables de vivre en harmonie et satisfaction, ni avec soi-même et ni avec l'environnement.
Leurs pensées égoïstes sont marquées encore d'une manière tellement primitive qu'ils se serrent les fesses et sont saisies et dominées par la colère et la détresse et la soif de vengeance et la haine, si une injustice se produit qui les concerne, ou qui concerne une connaissance ou même un inconnu.
Subitement, leur primitivité et leur avidité de sang, constamment opprimée, se manifeste dans des situations pareilles, auxquelles ils laisseraient libre cours s'ils le pouvaient et si les lois de l'état le leur permettraient.
Seulement leur (dans ce contexte) prédominante peur et lâcheté de la loi et de soi-même, les protège de leurs propres et des assouvissements de l'avidité du sang qui sommeillent en eux, à laquelle ils s'adonneraient sans scrupules si on leur prenait leur peur et leur lâcheté et leur ouvrait la voie.
Au fond d'eux sommeille une plus malfaisante et pire envie de tuer et d’avidité de sang, en forme potentielle, que cela peut être le cas chez un meurtrier de nature pathologique, qui agit comme un maniaque.
Un meurtrier maniaque est malade, et un délinquant d'un acte passionnel n'est plus en possession de ses sens, lors de l'accomplissement de l'acte. Un meurtrier avec un esprit de lucre ou de jalousie etc. est aussi malade, et tous ont besoin de l’aide humaine qui doit être raisonnablement liée à une épiation.
Un criminel de toute sorte est toujours induit en erreur et du moins malade dans ses pensées, où principalement la société et tout l'état et l'humain individuel portent tout seuls la culpabilité et sont coresponsables.
Coupables et coresponsables, parce qu'ils n'avaient pas mis en place et ne mettent pas en place des mesures de préventions nécessaires et parce que les apprentissages déterminants ne sont pas enseignés et des lois et un contrôle ne sont pas créés, qui pourraient empêcher et étouffer le crime au berceau.
Aussi coupables et coresponsables, parce que l'indifférence envers le prochain est d'une telle insensibilité et tellement prononcé, que même la pensée de l'amour du prochain refroidit glacialement et gèle, avant même qu'elle peut se manifester.
Un criminel agit toujours comme une personne perdue, comme personne tenté ou comme malade, le voleur tout aussi bien que le meurtrier ou suicidé. Dans tous les cas, un acte criminel repose en effet, seulement et uniquement sur un raisonnement mauvais et ainsi malade, aussi si le crime est minutieusement planifié à l'avance.
La pensée de l'humain agissant de manière criminelle est anormale et étrangère à la logique ainsi on ne peut parler à ce sujet seulement que d'un égarement, d'une tentation ou d'une maladie, même si beaucoup d'astuce et d'intelligence se cachent derrière le crime.
Cependant la maladie, l'égarement et la tentation peuvent être guéris et remédiés, aussi s'il s'agit d'une maladie criminelle. L'accent de la curabilité d'une maladie criminelle se trouve dans la guérison et dans l'expiation qui doit incomber à une personne faillible, si elle s’est rendu coupable d'un crime.
Mais la guérison et l'expiation signifient qu'un humain qui s’est rendu coupable d'un acte punissable, doit être rendu conscient de son illogisme et de sa faute et qui peut par cela se déplacer dans des voies de pensées saines et ceci en le rendant conscient de la faute de son acte et de ses pensées malades et en lui offrant éventuellement aussi de l'aide médicale.
À travers l'instruction et l'apprentissage l'humain faillible doit reconnaître sa faute et ses pensées erronées et doit se transformer en une forme de vie vraiment humaine accomplissant la loi.
Que lors de ce processus, un humain faillible doit être exclu de la société pour une période de temps convenable, cela va sans dire que c'est évident, car une expiation ne peut pas avoir lieu si on accordait toutes les libertés à un humain faillible qui sont accordées à ceux, qui ne se sont rendus coupables d'un manque.
Et si une personne faillible qui s'est rendu coupable de manière criminelle ou de grande criminalité, se révèle être incorrigible et incurable, alors elle peut toujours être emprisonnée ou être exilée à perpétuité.
Ceci peut être p.ex., en bannissant à perpétuité le délinquant/la délinquante sur des iles solitaires et coupées du monde, où ils doivent acquérir de la nature tout dont ils ont besoin avec la main d’œuvre et où ils ont du temps, pour changer pour le bien et le mieux, leurs vies et leurs pensées ainsi que leurs comportements, à travers un apprentissage imposé, à travers quoi ils peuvent devenir des vraies humains et aussi mourir en tant que tels.
Le peuple doit apprendre qu'aussi des coupables criminels ne doivent pas être exécutés et ainsi pas être assassinés par une punition légale, mais qu'ils doivent être seulement instruits pénalement et donc rendre compte de telle façon.
Mais, si les humains ne se laissent pas instruire et ne suivent pas la réalité et la vérité effective, alors ils font défections envers les lois créationelles-naturelles, par quoi ils subissent beaucoup de dommages.
Le régime pénitentiaire n’est pas censé être créé et imaginé, pour prendre et exécuter une vengeance punitive envers une personne faillible, mais pour aider les délinquants en les instruisant dans les vraies lois et commandements, ainsi que dans le comportement juste de la vie et dans l’ordre humain et pour les rendre capables de bonnes pensées, pour qu’ils puissent devenir des vraies humains.
Chaque humain doit prendre connaissance du fait que c’est son devoir, de percevoir la réalité et sa vérité et selon elle, de tout faire de manière correcte, mais celui qui ignore cela, se punit lui-même. Et s’il s’agit de la peine de mort, par laquelle un humain est exécuté, alors le partisan devient un complice et coresponsable de l’assassinat mené légalement comme meurtre d’un humain.
Alors, tout le monde doit faire tout ce qu'il peut, pour que la législation et l'exécution de la peine de mort soit abolie et pour que l'humanité terrestre peut enfin atteindre, au moins à ce sujet, la justice, l'humanité, l'honneur et la dignité.
L'humain de la Terre doit enfin devenir apte à concevoir et devenir capable, d’un avenir humain en liberté seulement, sans peine de mort et torture, ne peut être juste.
Alors il incombe à toute personne individuelle de reconnaître la vérité de la vie et de l’appliquer, afin que le corps et la vie de tout humain doit être tabou de tout mal, du négatif et de la façon mauvaise, par la main de l’homme.
Devenez-vous aussi sages comme lecteurs de cette pétition et apprenez à reconnaître, d’apprendre et de comprendre la réalité créationelle-naturelle et sa vérité, et réalisez le tout de telle manière, comme les lois et commandements créationels-naturels de la protection et de l’intangibilité du corps et de la vie le réclament.
Faites la bonne chose et si vous vous engagez en faveur de l’ostracisation et de l’abolition de la peine de mort et de la torture, en suivant les lois et commandements créationels-naturels qui postulent, que sans exception, tout humain est complètement responsable pour la protection de sa propre vie et de la vie du prochain et qu’il ne doit, ni la déshonorer, ni la tuer.
Et appliquez-vous de vous engager de toutes manières positives que la Terre avec son humanité devient une planète, sur laquelle la torture et la peine de mort n’existe plus.
‹Billy› Eduard Albert Meier (BEAM)
und
FIGU, Freie Interessengemeinschaft, SSSC
Hinterschmidrüti 1225, CH-8495 Schweiz